Si vous nous suivez sur les réseaux sociaux, ou si vous lisez assidûment nos articles de blog, vous êtes déjà au courant : Léonard de Vinci et o’bEiNGLISH travaillent main dans la main depuis le 7 mars dernier. Si vous ne nous suivez pas encore, nous nous devons de préciser que ce n’est évidemment pas avec le célèbre peintre de la Joconde, mais bien avec le pôle universitaire Léonard de Vinci à la Défense.
Nous intervenons en tant que coachs linguistiques tous les jeudis auprès des étudiant.es de 2ème année de l’IIM (Institut de l’Internet et du multimédia), dans le cadre de la bourse aux projets. Les étudiant.es ont quatre mois pour monter un projet en équipe, qui répondra au besoin de leur client.e (plan de communication, refonte de site web, nouveaux logos etc.). Le rôle de o’bEiNGLISH est de les accompagner pendant l’élaboration de leur projet, tant dans la traduction de leurs documents écrits, que dans la présentation finale de leurs projets à l’oral en anglais.
C’est lors de notre participation au Forum Orientation et égalité des chances de Courbevoie que nous avons été approchées par Arthur Kenfack, responsable du département Développement web/ mobile et management de la transformation digitale de l’IIM.
Ce professionnel du digital nous a fait part d’un constat simple : l’anglais est devenu incontournable dans les secteurs de la communication et du web, et les étudiant.es se doivent de le maîtriser. Son désir est de leur donner toutes les cartes en main pour réussir professionnellement, en France comme à l’étranger. Ils sont en fin de 2ème année et Arthur, leur prof, souhaite qu’en fin de 5ème année l’anglais ne soit plus un sujet pour eux. Alors o’bEiNGLISH les y prépare, et les entraîne à l’oral comme à l’écrit. A l’issue de leur formation, ils pourront devenir les digital nomads qu’ils rêvaient d’être en embrassant cette carrièreNotre objectif est donc de leur apporter un anglais 100% personnalisé, en relation directe avec leur domaine d’études, et en fonction du niveau de chacun. L’enseignement personnalisé pour tous étant dans l’ADN de o’bEiNGLISH, c’est avec enthousiasme que nous avons accepté de relever ce défi, et que nous intervenons chaque semaine auprès des étudiant.es de l’IIM. Sommes-nous en train de former le ou la futur.e Mark Zuckerberg ? L’avenir nous le dira. 😉
DIPLONOVA une marketplace pour mettre en avant l’offre des artisans de la formationDepuis quelque mois, je suis avec intérêt, sur LinkedIn le profil de Steven CHAZAL, le créateur de DIPLONOVA, une startup angevine. Ses posts éclairent de manière pertinente un monde en pleine mutation : celui de la formation professionnelle continue.
En effet depuis le 1er janvier 2019 tout a changé.
Les OPCA sont devenus, pour certains, des OPCO (opérateurs de compétences).
Le 1% formation est désormais perçu par la Caisse des Dépôts et Consignations. Et nous attendons l’arrivée de la plateforme France Compétences et du référentiel de certification.
DIPLONOVA c’est un site web
Certes, mais pas que…
Sur ce site web les artisans de la formation peuvent présenter leur offre et c’est maintenant le cas des formations o’bEiNGLISH.
Nous vous y présentons notre catalogue de formations et c’est une grande fierté pour nous.
Car en effet, j’ai découvert il y a peu la plateforme Défi Métiers qui présente l’offre de formation en Ile de France, ce qui représente déjà une belle opportunité de mise en avant. Mais sur Défi Métiers, nous partageons l’affiche avec les poids lourds du secteur, qui font un peu d’ombre aux jeunes pousse comme o’bEiNGLISH. Il est donc difficile de s’y faire une place au soleil. C’est ainsi.
Et puis, c’est là que Steven CHAZAL nous a contactés en message privé pour nous annoncer la naissance de DIPLONOVA. Et là j’ai dit oui tout de suite. En effet, pour un abonnement tout à fait compatible avec le fonds de roulement d’une petite structure, voilà l’offre de formation de o’bEiNGLISH mise en avant sur une plateforme nationale ! Une aubaine.
DIPLONOVA c’est un site web expert du monde complexe de la formation
DIPLONOVA est un miroir de l’écosystème complexe du monde de la FPC. Et notamment il se fait fort de proposer aux organismes de formation de sortir leur BPF (bilan pédagogique et financier) chaque année au mois d’avril.
A terme il va également permettre aux acteurs de la formation de louer des salles chez les uns et les autres, par exemple.
DIPLONOVA fait de la veille en ce qui concerne les mutations qui agitent le secteur et notamment en ce qui concerne l’obligation de certification pour 2021.
Enfin DIPLONOVA, est un expert du marketing digital : pour chaque formation mise en ligne DIPLONOVA a prévu un cartouche qui reprend les mots clés stratégiques pour en améliorer le référencement naturel et donc la remontée en haut de la liste GOOGLE de nos organismes et de nos offres.
o’bEiNGLISH participe aux événements de L’ASSOCIATION 100 000 ENTREPRENEURSJ’ai entendu parler de l’association 100 000 entrepreneurs et j’ai immédiatement été très intéressée par sa mission : transmettre la culture d’entreprendre et promouvoir l’entrepreneuriat auprès des jeunes des lycées pour leur proposer des exemples d’entrepreneurs inspirants.
Après avoir visionné leur préparation en ligne, j’ai reçu un appel de leur part pour me proposer de participer aux événements organisés dans les Hauts de Seine au mois de mars, mois de l’entrepreneuriat féminin.
J’ai donc participé à plusieurs événements, l’un à la CCI de Nanterre où nous avons rencontré des lycéens des lycées professionnels notamment ceux du lycée Paul Painlevé à Courbevoie. L’autre au salon Ronsard de l’Hôtel de Ville de Levallois-Perret où des lycéens de Léonard de Vinci avaient été conviés. Enfin, je vais participer à un troisième événement de ce type au lycée Paul Eluard de Saint Denis. J’ai pu leur raconter, avec d’autres entrepreneuses ce nouveau métier de chef d’entreprise, que je vis depuis bientôt deux ans avec o’bEiNGLISH.
Il s’agissait d’un échange permanent entre eux et nous. Dans cette optique, l’association 100000 entrepreneurs nous avait préparé un petit guide des thématiques à aborder pendant les 40 minutes d’échanges que nous avions avec les jeunes regroupés par groupes de dix !
1 – Echange autour de la notion d’entreprendre : Faire comprendre ce qu’entreprendre signifie (se mobiliser pour monter un projet à partir d’une envie). Il y a plusieurs façons d’être entrepreneur (Chefs d’entreprise, Professions libérales, commerçants, artisans …), échanges autour des qualités pour entreprendre …
2 – Echange autour du parcours professionnel : Raconter son aventure d’entrepreneur : En quoi consiste leur aventure, En quoi consiste l’idée de départ, Quelle est son originalité, quel a été le déclic pour se lancer ? Ne pas cacher ses difficultés à entreprendre …
3 – Echange autour de l’Entreprise et son environnement : Secteur d’activité : l’industrie, les services, le commerce ? Qui sont leurs clients, quels sont leurs besoins, quels sont leurs concurrents, quels sont leurs fournisseurs ? Aborder le fonctionnement de leur entreprise, les mécanismes de rentabilités…
4 – Echange autour de la formation : Quelles études poursuivies ? Quelles ont été les difficultés éventuelles et comment ont-elles été surmontées ? Quel est l’avantage de poursuivre des études supérieures ? Quel est l’intérêt des matières enseignées …
Quand on leur parle d’entrepreneuriat, les jeunes ont souvent une image de start up à succès comme BlaBla Car ou FaceBook. Avant d’être le Mark Zuckerberg ou le Frédéric Mazella de demain, je les ai amenés à identifier leur boulanger, le pressing de leur rue, le bar tabac ou encore le kebab de leur quartier comme autant d’entrepreneurs. Nous nous sommes penchés sur la façon dont on pouvait définir un entrepreneur. Je leur ai proposé la mienne : c’est quelqu’un qui crée son propre emploi, et qui a la capacité d’en créer d’autres.
Beaucoup de fantasmes autour du fait qu’on est son propre patron. Certes, nous avons la capacité de faire des choix stratégiques. Mais au bout du compte, le banquier reste notre patron, ainsi que l’URSSAF, l’administration fiscale etc. La marge de manœuvre est somme toute assez mince, entre le respect de la loi et la nécessité d’être profitable.
J’ai pu en tous cas transmettre ma passion pour la formation en anglais et la direction d’entreprise, ma fierté d’avoir créé le o’logbook, et j’ai pu à la fois ressentir et peut être leur transmettre que l’entrepreneuriat était avant tout une affaire de passion. Sur cette photo, les post-it rédigés par les lycéens à l’issue des événements : un feedback très réjouissant.
o’bEiNGLISH participe à l’atelier I love English à Courbevoie le 11 avril prochainUn atelier est organisé à Courbevoie le 11 avril à 19h pour en débattre : o’bEiNGLISH a l’honneur d’y participer, avec Flora BELOT, Jean ESSONE et Katherine MALAPKOUR BIARD ! voici quelques uns de nos arguments.
Aujourd’hui, les jeunes reprennent le chemin des cours d’anglais en ce moment, pour plusieurs raisons. Deux raisons semblent néanmoins devenir incontournables :
Ils n’ont guère envie de cours trop classiques, et ils sont face à un choix maintenant énorme. o’bEiNGLISH leur propose une méthode originale, peu académique mais très efficace pour améliorer rapidement leur niveau d’anglais en se basant sur leurs centres d’intérêt – séries, films, jeux vidéo, livres. Son appli le o’logbook est là pour les soutenir et valoriser leur démarche.
Comment s’y prendre ? dès le plus jeune âge, pourquoi pas ? essayons !
Certes, on dit maintenant : pas d’écran avant trois ans. Cependant, il est tout à fait possible de proposer aux enfants de regarder un Disney en anglais (sans télécommande pour zapper). Cette démarche, si elle est soutenue dans le temps, va contribuer à se former l’oreille à cette autre langue, et favoriser ensuite les circuits d’apprentissage.
On est tous d’accord : on ne peut pas à la fois s’émerveiller des enfants Néerlandais ou Suédois qui parlent bien l’anglais dès le plus jeune âge et en même temps, refuser que nos enfants s’y mettent très tôt.
Certains opposeront le fait que pour certains enfants, notamment les dyslexiques, cela peut poser des problèmes. Et ils ont raison. Mais fort heureusement nous disposons en France d’un réseau compétents d’orthophonistes pour les accompagner.
Pour le plus grand nombre des jeunes aujourd’hui, il y a plus de risque à ne pas maîtriser l’anglais qu’il y en a à s’exposer à des difficultés d’apprentissage de leur langue maternelle en même temps que l’anglais.
A force d’avoir protégé la langue française, on a rendu la France étanche et les français imperméables à l’anglais mais c’est en train de changer et tant mieux, notamment grâce à l’offre Netflix qui a largement popularisé les séries anglo-saxonnes tout en permettant de les regarder en VO avec les sous titres en anglais.
De plus SKYPE a intégré dans sa plateforme un traducteur automatique par la voix qui prend déjà en charge une dizaine de langues… et cela ne va pas s’arrêter là. Donc la machine fera toujours mieux et plus vite que l’homme, dans toutes les langues. Apprendre une langue étrangère relèvera bientôt de la curiosité intellectuelle – comme certains apprennent encore le latin ou le grec – ou bien d’une absolue nécessité : professionnelle ou personnelle. Mais sinon, SKYPE nous permettra de nous sortir de la plupart des situations où nous ne maîtrisons pas la langue étrangère de l’autre.
Dans le paysage international, l’anglais tient maintenant une place à part : il est devenu partout la langue des échanges interculturels.
Alors chez o’bEiNGLISH nous ne sommes pas loin de penser que, après avoir protégé la langue française à tout prix, nous aurions besoin que le rattrapage du retard pris en anglais dans l’hexagone devienne à son tour une grande cause nationale.
Cette question du bilinguisme dès le plus jeune âge sera abordée lors d’un atelier I LOVE ENGLISH à Courbevoie, organisé par MME Aurélie TAQUILLAIN maire adjointe, et son mouvement d’idées I love Courb’.
Venez nombreux au KIDS PALACE.
o’bEiNGLISH sélectionné pour les projets tuteurés des étudiant.es de Master 1 Communication Digitale de l’IIM (Institut de l’Internet et du multimédia)Le 28 février dernier, o’bEiNGLISH a été reçu au pôle universitaire Léonard de Vinci, pour assister à la soutenance des étudiant.es de Master 1 Communication Digitale de l’IIM. En effet, quelques mois auparavant, o’bEiNGLISH avait été sélectionné comme objet d’étude dans le cadre des projets tuteurés. Nous avions donc rencontré 30 étudiant.es, réparti.es en 5 équipes, avec un seul objectif : élaborer une stratégie de communication pour améliorer la visibilité de l’entreprise via les réseaux sociaux. Les 5 équipes ont alors monté une agence de communication où chacun.e a endossé un rôle précis : graphiste, community manager ou encore responsable marketing, dans le but de nous proposer la stratégie de communication la mieux adaptée à notre situation.
Le jour de la soutenance, les 5 agences créées pour l’occasion nous ont donc présenté leurs projets. Lors de ce défilé d’idées, 2 agences se sont fait remarquer. Nous avons en effet particulièrement apprécié leurs présentations soignées, leur dynamisme, et le fait qu’elles aient, à la différence des autres, fixé des objectifs chiffrés pour les réseaux sociaux, ce qui permet d’avoir un but précis à atteindre. Nous avons aussi été très sensibles au fait que ces agences se soient focalisées sur une stratégie de promotion du o’logbook, création majeure de o’bEiNGLISH, qui n’a pas été traité par les autres équipes.
Chaque agence nous a soumis des propositions intéressantes et originales, des clés pour gérer au mieux nos réseaux sociaux et améliorer notre visibilité. Nous entreprenons actuellement de tester celles qui nous ont plu, en les appliquant sur nos réseaux sociaux Instagram, Facebook et Linkedin, afin d’évaluer leur efficacité au fil des jours.
Nous sommes extrêmement satisfaites de cette collaboration avec les étudiant.es, qui ont enrichi l’entreprise par leur regard jeune de spécialistes de la communication digitale. Ce qui convient à o’bEiNGLISH, qui tient à garder un esprit moderne et dynamique, pour s’adresser de façon pertinente au plus grand nombre. Cette collaboration est également très bénéfique aux étudiant.es, qui sont plongés dans une « simulation » d’agence de communication, où ils doivent travailler en équipe, respecter des deadlines et élaborer des solutions concrètes pour répondre aux attentes du client pour lequel ils travaillent. Cette expérience leur permet de travailler sur un cas réel, et d‘apprendre des critiques émises par le client, comme du professeur évaluateur, présent lors de la soutenance.
Nous tenons donc à remercier chaleureusement toutes les équipes d’étudiant.es de Master 1 en communication digitale de l’IIM pour le travail qu’elles ont fourni afin de présenter leurs projets pour o’bEiNGLISH. Nous sommes plus que ravies de cette expérience, et espérons les croiser dans les couloirs du pôle universitaire Léonard de Vinci, où nous officions actuellement en tant que coachs auprès des étudiant.es de L2 métiers du développement web. Mais il faudra prendre son mal en patience et attendre un prochain article pour en savoir plus à ce sujet… 😉
Bonne semaine à tous !
« OBJECTIF NUMÉRIQUE » – 23 mars 2019 le BIJ de Bois-Colombesvous propose un tour d’horizon
Quel est mon avenir dans le numérique ? C’est la bonne question que s’est posée la ville de Bois-Colombes qui organise toute une semaine « Objectif Numérique » autour des multiples réponses possibles à cette vaste question. Les jeunes – et ceux qui le sont moins – peuvent être confrontés à cette question à plus d’un titre.
Pour tenter d’y apporter des réponses concrètes et inspirantes, la ville propose tout un programme d’activités orchestré par le BIJ – Bureau Information Jeunesse – et son animateur multimédia Louis-Georges AMAR.
Parmi ces activités, le BIJ de Bois-Colombes a organisé deux visites pour les jeunes : l’une dans les locaux de ORANGE, l’autre dans ceux de FREE – je vous le disais : c’est concret et inspirant.
Le BIJ de Bois-Colombes nous a contactés pour intervenir lors de la journée du 23 mars prochain. La première intervention prévue à midi, sera consacrée à l’aventure de l’entrepreneuriat avec une idée – sans nécessairement être un geek soi-même. J’y raconterai la naissance du o’logbook© et l’aventure de la création de l’entreprise autour cet cette idée novatrice. Je mettrai l’accent sur le fait que je n’étais pas une geek confirmée, loin de là. Mais en étant bien entourée par des partenaires recommandés par son réseau, puis sélectionnés avec soin, cela n’a pas été un obstacle.
Je suis devenue le « chef de projet utilisateur » de ma propre idée.
Dans ce parcours j’ai été accompagnée par les agences numériques HELIOP, BALTAZARE et EXPERTISME. Je continue de l’être dans le cadre de projets tuteurés, avec deux écoles du numérique : IIM qui fait partie du pôle universitaire LEONARD DE VINCI, à Courbevoie et EFREI à Villejuif dans le département du 92.
La deuxième intervention ce jour-là sera consacrée au rôle clé que joue la langue anglaise dans les métiers du numérique. A plus d’un titre d’ailleurs. L’anglais joue dans ces métiers un rôle essentiel car les premières ressources auxquelles les développeurs, créateurs, marketeurs font appel sont en ligne. Ils sont vite confrontés aux limites des ressources francophones. Ne pas maîtriser l’anglais dans les métiers du numérique, c’est se fermer 50% au moins des ressources du web.
Le plus souvent, quand on choisit un métier en lien avec l’économie numérique, on rêve de devenir un « digital nomad ». C’est-à-dire, d’avoir pour seul bureau son ordinateur et sa connexion internet et de pouvoir répondre à ses clients où qu’on soit dans le monde, et pourquoi pas sur une plage en Grèce ou à Bali. Certes, cela fait rêver, surtout ces jours-ci où les giboulées de mars ajoutent à la grisaille parisienne. Un digital nomad ne parlera que très rarement le grec ou l’indonésien. Si vous voulez voyager tout en travaillant dans l’économie numérique, vous devrez parler l’anglais. Et ce, partout dans le monde.
Pour la suite de ces interventions, on se retrouve à au BIJ de Bois-Colombes, 79 rue Charles Duflos, le 23 mars prochain à 12h et à 16h. Vous pouvez télécharger le programme en cliquant ici.
On compte sur vous ! A très bientôt !
La plateforme Défi Métiers, une belle opportunité pour rendre visible notre offre de formationEn début d’année j’ai assisté à un Café des Créateurs, organisé par le Guichet Unique de Courbevoie. J’ai eu le plaisir d’y rencontrer Karima Allouache référente création d’entreprises chez Pôle Emploi qui m’a parlé de la plateforme Défi Métiers qui relaye en ligne l’offre de formation dispensée sur la Région Ile de France. A ce titre elle est utilisée par les conseillers Pôle Emploi pour trouver les formations les mieux adaptées aux demandeurs d’emploi qu’ils encadrent.
Grâce à cette rencontre, j’ai suivi une matinée de formation pour savoir bien utiliser ce nouvel outil et toutes ses fonctionnalités.
Nous avons depuis créé et mis en ligne deux sessions de formation à l’anglais en informatique. Chacune des sessions fait deux jours.
Elles sont destinées à des techniciens de maintenance informatique, qui souhaitent améliorer leur anglais pour pouvoir accepter des postes dans des sociétés tournées vers l’international.
Outre le vocabulaire spécifique du secteur, la formation prévoit également une remise à niveau théorique des stagiaires sur les points suivants :
Les apports théoriques sont suivis de mises en situation pendant lesquelles les stagiaires sont invités à mettre les notions en pratique en petits groupes.
Le formateur utilise aussi des tutos en ligne pour que les stagiaires améliorent leur compréhension orale.
Il leur propose également de lire et de résumer des fiches techniques en anglais.
Cette formation étant destinée à un public en recherche d’emploi, le formateur consacrera 3 heures en fin de formation pour aborder les bonnes pratiques à suivre pour rédiger son CV en anglais.
Enfin les stagiaires auront l’occasion d’écouter un tuto en anglais concernant les questions classiques qui sont susceptibles de leur être posées en anglais lors d’un entretien d’embauche.
Le formateur organise ensuite une mise en situation pendant laquelle les stagiaires auront l’occasion de mettre en pratique les conseils qu’ils auront écouté.
Ce n’est pas une première pour o’bEiNGLISH qui intervient régulièrement comme sous-traitant pour l’anglais, chez AMAT RH pour des formations longues de techniciens de maintenance système et réseaux.
Mais la mise en ligne de nos propres sessions de formation pour l’anglais informatique, c’est une première.
Nous avons loué une belle salle chez FM – FORMEZ MOI – 130 rue de Normandie à Courbevoie pour accueillir cette formation.
Ne manquent plus qu’un peu de pub…. et des stagiaires bien sûr !
La première session aura lieu les 17 et 18 juin prochain. La suivante à la rentrée, les 23 et 24 septembre.
Le tarif pour deux jours se situe autour de 500 €.
Parlez-en autour de vous,
Merci !
FORUM ORIENTATION EGALITE DES CHANCES DE LA VILLE DE COURBEVOIEAnnoncé dans le N° 148 du Courbevoie MAG un forum Orientation – Egalité des chances à destination des jeunes lycéens, des étudiants ou de ceux d’entre vous qui sont déjà insérés dans la vie professionnelle, c’est une chance, c’est une aubaine, à laquelle o’bEiNGLISH a eu le plaisir d’être associé.
Une bonne pratique de la langue anglaise c’est aussi une chance pour tous, dans ce monde toujours plus ouvert à l’international. C’est pourquoi nous allons proposer au cours de ce salon trois ateliers autour du thème de la rédaction du CV et de la LM en anglais.
Pourquoi le CV et la LM ? D’abord, parce que ce sujet a été plébiscité par les jeunes de la commune. Il y a donc un besoin et, partant, un sujet. En second lieu, c’est un exercice difficile qui recèle bien des pièges et des chausse-trappes. Nous allons vous donner tous les trucs et astuces pour vous en sortir haut la main.
C’est aussi un atelier que o’bEiNGLISH a déjà eu l’occasion d’animer dans d’autres structures, on connaît donc assez bien la question.
De plus, le CV fait partie de l’ADN de o’bEiNGLISH depuis l’origine, puisque nous avons créé le o’logbook© qui permet à chacun de créer son profil où valoriser tous les efforts consentis en anglais : en effet, le o’logbook© permet à ses utilisateurs d’enregistrer et de conserver ainsi la trace des activités de loisirs faites en anglais. Qu’il s’agisse de jeux vidéo, de lecture, de séries TV, de films aussi.
Le o’logbook© enfin est partageable dans la section « langues étrangères » de votre CV. Au même titre que le TOEIC, TOEFL, BULATS, etc. Ou que les séjours effectués en pays anglo-saxons.
Pour préparer ce forum, o’bEiNGLISH a recruté une stagiaire : Dounia. Titulaire d’une L3 de LEA anglais / espagnol à l’Université PARIS X Nanterre, et forte d’une première expérience d’enseignement au Mexique, Dounia nous rejoint sans doute pour longtemps.
Elle aussi va préparer la certification CELTA délivrée par la prestigieuse Université de CAMBRIDGE aux professeurs d’anglais langue étrangère.
Nous sommes absolument ravis de cette opportunité de nous faire ainsi connaître sur le territoire local où nous vivons depuis plus de 20 ans.
Nous remercions la ville de Courbevoie, et plus particulièrement toute l’équipe de la Direction Education, jeunesse et relations avec l’enseignement supérieur, emmenée par Jean SPIRI maire adjoint, de nous avoir sollicité, invité à faire partie de l’aventure, et de nous avoir accordé sa confiance.
Nous vous espérons très nombreux à ce rendez-vous qui marque le début d’une année 2019 sous le signe de la jeunesse dynamique, ambitieuse, solidaire, créative, ainsi que le montrera le lieu que la ville lui consacre boulevard Aristide Briand : E-Collectif Briand.
HAPPY BIRTHDAY TO o’bEiNGLISHNous avons soufflé notre première bougie et bouclé notre premier exercice fiscal ! c’est donc l’heure du bilan. Et ce bilan est largement positif.
o’bEiNGLISH est une petite entreprise bien gérée : elle a dégagé un résultat positif, supérieur à 10% de son CA. Nous en sommes super fiers. Pour nous accompagner, nous avons choisi le cabinet d’expertise comptable et de conseil aux entreprises L’ENTREPRENDRE CERFRANCE.
A peine immatriculés nous nous sommes attaqués à la certification Data Dock de notre activité, ce qui rend les formations fournies éligibles à un financement total ou partiel par des organismes publics, et nous avons travaillé avec le FIF PL, AGEFOS PME, OPCABAIA, AFDAS et FAFIEC.
Fortement implantés à Courbevoie, au pied de La Défense, le bouche à oreille local a bien fonctionné tout comme au sein d’une grande entreprise d’audit financier de La Défense.
Nous avons formé une quinzaine d’élèves en cours particuliers, et une vingtaine d’autres en cours collectifs grâce à un partenariat avec l’organisme de formation AMAT RH. Nous avons été enchantés de cette collaboration. Nous les remercions vivement de leur confiance et espérons voir ces formations reconduites l’an prochain.
Au cours de cette année, nous sommes dotés d’un site web performant et pour ce faire nous avons fait appel à deux agences : Heliop (Paris 14eme) pour le développement et Baltazare (Paris 10eme) pour le graphisme. Pour financer cet investissement, nous nous sommes appuyés sur notre partenaire bancaire, le Crédit Mutuel.
Au cours de cette année nous avons également passé beaucoup de temps à des rencontres pour entrepreneurs débutants organisées notamment par la mission locale et la direction économique de la ville de Courbevoie.
Ce qui nous donne l’occasion de rencontrer plusieurs fois par mois des entrepreneurs locaux, tout comme de nouveaux prestataires qui répondent à nos nouveaux besoins. C’est ainsi que nous avons rencontré l’agence EXPERT IS ME à laquelle nous avons confié le référencement de notre site – opération en cours.
Dans cette dynamique, j’ai participé au dispositif BOOST’HER de Hauts de Seine Initiatives. L’occasion pour moi d’un coaching collectif et bienveillant avec une dizaine de consoeurs entrepreneuses elles aussi.
Au cours de cette année nous avons également lancé et animé une page professionnelle sur FaceBook ainsi qu’un compte Instagram. A la fin du mois, nous allons confier l’animation de ces réseaux à un groupe d’étudiants du digital du pôle universitaire Léonard de Vinci, dans le cadre de projets tuteurés.
2018 est marquée aussi pour moi l’obtention de ma certification CELTA Level 5 délivrée par la prestigieuse Université de Cambridge (mention B) . J’en suis très heureuse et fière. Ce fut aussi une expérience passionnante et très enrichissante. Et l’occasion d’avoir accès à un réservoir de professeurs ayant suivi une formation pédagogique de grande qualité.
Et puis comme chacun sait, diriger c’est prévoir. Nous avons d’autres projets qui vont jalonner cette nouvelle année, nous aurons l’occasion de vous en reparler dans ces pages ! l’année prochaine sera marquée par de gros changements dans le domaine de la formation professionnelle continue, avec un dévaluation du CPF et la certification des organismes de formation qui va devenir obligatoire. Ancienne responsable qualité à l’Afnor, j’attends ces évolutions avec confiance.
Merci à tous mes élèves, mes partenaires, mes fournisseurs, mes collègues profs et entrepreneurs, votre enthousiasme, votre soutien, votre confiance, votre détermination sont autant de sources d’inspiration et de motivation.
N’hésitez pas à nous suivre sur les pages o’bEiNGLISH des réseaux sociaux !
NETFLIX POUR PROGRESSER EN ANGLAIS
Et les séries sont un moyen très efficace de progresser en anglais, à condition bien sûr de les regarder en anglais.
Quels sous-titres choisir ? C’est une bonne question. Les sous-titres en français sont plus confortables. Certes. Mais faites l’essai, ou l’effort, de passer aux sous-titres en anglais. Vous allez voir les mots que vous entendez et cela va vous aider aussi et vous faire progresser en orthographe.
Cette méthode d’apprentissage est au cœur de l’offre o’bEiNGLISH.
Mais je découvre avec plaisir que nous ne sommes plus des pionniers en la matière. Sur son site EF – Education First – recommande la même chose en allant plus loin. Ils vous proposent 10 séries NETFLIX en vous indiquant pourquoi regarder chacune selon vos goûts mais aussi dans quel domaine cette série va vous faire progresser. Sans oublier le registre très riche de l’argot anglais ou américain ?
C’est ainsi qu’ils mettent l’accent sur Orange is the New Black ou sur Stranger Things. D’accord celles-ci sont très connues. EF vous propose également de découvrir d’autres séries moins connues telles que Dear White People et Master of None.
Vous avez choisi une série ? Très bien.
Il ne vous reste plus qu’a vous installer confortablement, devant à commander votre pizza préférée et à vous laisser emporter par la magie ou le suspense de l’histoire. Assez vite vous allez oublier que vous la regardez en anglais. Vous allez prendre l’habitude d’écouter et de comprendre de l’anglais. Et vous apercevoir que vous comprenez de mieux en mieux.
Pour parvenir à ce résultat : deux mots clés, patience et régularité. Optimisme et plaisir aussi ?
Il est plus utile et efficace de regarder 15 à 20 minutes de sa série 3 à 4 fois par semaine que d’engloutir 4 épisodes d’un coup le samedi après-midi.
Vous avez choisi la bonne série, vous la regardez, c’est le moment de créer ou de mettre à jour votre o’logbook©
Vous verrez qu’au bout de quelques semaines, voire quelques jours, vous allez comprendre de plus en plus et de mieux en mieux. Vous n’aurez rapidement plus besoin des sous titres en français. C’est le moment pour vous de passer aux sous titres en anglais. Ils vont faciliter votre compréhension et vous feront également progresser en orthographe anglaise.
Faites nous confiance, faites vous confiance, vous êtes bien meilleur en anglais que ce que vous croyez ! Cette marge de progression dont vous disposez, les séries TV en anglais vont vous aider à la combler. Vous reprendrez confiance, et vous vous surprendrez. Capitalisez ces nouvelles compétences dans votre o’logbook