On m’en fait souvent la remarque : les cours o’bEiNGLISH sont différents. Lorsque j’ai commencé, mon intention n’était pourtant pas d’être à tout prix originale. Mais si j’en crois les excellents retours de mes élèves, non seulement ma façon d’aborder l’anglais porte ses fruits, mais elle tranche avec ce qui se fait ailleurs. Sans doute cette différence vient-elle du fait qu’avant de me lancer dans cette aventure je n’avais encore jamais enseigné. J’y suis allée sans a priori, mais avec l’envie de mettre à l’épreuve une intuition et ce qui me semblait être une bonne idée. L’envie de partager mon savoir et d’apporter une vision nouvelle de l’anglais était déjà bien présente. Et elle n’a fait que se confirmer avec le temps, jusqu’à ce mois de juillet où j’ai obtenu, après un mois de formation intensive, le CELTA (Certificate in English Language Teaching to Adults) remis par la très sélective Université de Cambridge.
Dès mes débuts en tant qu’enseignante particulière, j’ai pu constater que le besoin N°1 de chaque élève était de retrouver une certaine confiance en soi. Vous n’avez aucune raison de vous sous-estimer ; dans l’immense majorité des cas, vous êtes bien meilleurs que vous le pensez ! L’enseignement o’bEiNGLISH est donc basé sur ce que vous savez. C’est le socle sur lequel je m’appuie pour vous faire progresser de façon rigoureuse en grammaire et en vocabulaire.
Un autre point m’a d’emblée semblé important, lui aussi : le fait qu’il était hors de question que mes élèves viennent au cours à reculons. Certes, il est important de s’impliquer pour progresser, et durant mes cours c’est bien vous qui pratiquez l’anglais de façon active. Cependant, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ? C’est la raison pour laquelle j’utilise vos centres d’intérêt pour vous faire travailler à la fois l’oral et l’écrit. Vous êtes fan de séries, vous dévorez science-fiction et heroic fantasy, vos hobbies ou votre profession vous portent à écouter des conférences et des podcasts… Et si vous faisiez tout ça en anglais ? Ainsi, vos loisirs deviennent une source d’apprentissage. Et non seulement je vous demanderai de m’en parler durant les cours, mais vous pourrez également m’écrire, dès que vous aurez dix minutes, pour me raconter un épisode, me résumer un livre, un film, ou me donner votre avis sur une conférence TED. Je vous répondrai chaque fois en corrigeant vos erreurs, et sans manquer non plus de mentionner vos progrès.
Parce que l’originalité ne fait pas tout, sachez aussi que o’bEiNGLISH est un Organisme de Formation référencé sur la plateforme Data Dock, ce qui vous permet de créer un dossier de demande de financement de votre formation en anglais pour le transmettre à l’OPCA dont vous dépendez. Muni de votre devis et de votre contrat, vous pourrez faire la demande auprès de l’organisme financeur qui correspond à votre statut (salarié, indépendant, intermittent du spectacle…). Et bien évidemment, la méthode o’bEiNGLISH prépare au certificat que vous avez choisi (TOEIC et TOEFL, BULATS, DCL anglais, LILATE). Par ailleurs, d’un point de vue purement pratique, je m’engage à m’adapter au mieux à votre emploi du temps.
Alors, si les cours o’bEiNGLISH correspondent à ce que vous recherchez, n’hésitez plus : cliquez sur « demander un devis », laissez-vous guider, vous l’obtiendrez en 48h.
Notre livre de la semaine
Un homme armé terrorise les jeunes femmes, mais rien ne semble lier ces meurtres apparemment aléatoires. …
After you’d gone
Une jeune femme affolée monte dans un train à King’s Cross pour retourner dans sa famille en Écosse. Six heures plus tard, elle aperçoit quelque chose d’aussi terrible dans un miroir à la gare de Waverley qu’elle monte dans le prochain train pour Londres…
Série TV de la semaineLucifer a quitté les Enfers pour s’accorder des vacances bien méritées à Los Angeles. Désormais à la tête de la boîte de nuit Lux, il reçoit un soir la visite de son amie Delilah, star de la musique. Alors qu’il la réconforte, celle-ci est abattue. Lucifer décide donc de retrouver le commanditaire de l’assassinat.
Le récit de l’évacuation des troupes alliées encerclées par des troupes allemandes à Dunkerque en mai 1940, au début de la Seconde Guerre mondiale.
Le o’logbook© étant une création toute récente, les professeurs d’anglais sont encore peu nombreux à l’avoir utilisé avec leurs classes. Voici le témoignage de l’une d’entre eux, Nathalie Pédron, professeur en collège à Rennes.
« En fin d’année scolaire, j’ai présenté o’logbook à une classe de 25 élèves de 3ème. Sachant que cela prend cinq minutes pour ouvrir son propre o’logbook© et trente secondes maxi pour chaque item entré, en une heure, les 25 élèves avaient tous ouvert leur o’logbook et incrémenté celui-ci de leurs lectures, visionnages etc. De plus, ayant installé quatre grandes feuilles au tableau : « Séries », « films », » jeux vidéo » « livres », les élèves sont venus librement au tableau inscrire les items qu’ils incluaient dans leur o’logbook©. A la fin de l’heure, nous avions ainsi une « banque de données de la 3ème A ». J’ai fait des photocopies et, le cours suivant, chaque élève a pu ajouter les items qu’il avait oubliés. (« Ah oui, c’est vrai, le bouquin sympa lu en 5ème ! », » Oui, Titanic en VO avec Leonardooooo ! Comment j’ai pu oublier !) Cela a généré une « culture de classe » très fédérative.
D’ores et déjà, je peux dire que les élèves, même ceux peu motivés par l’anglais, trouvent o’logbook© sympa, intuitif, plus fun qu’un manuel d’anglais (on s’en serait douté), et voient l’utilité qu’il pourra avoir dans plusieurs années lors des premiers CV. »
« A la rentrée, j’enverrai le o’logbook collectif de chaque classe (avec mes recommandations et, dans les commentaires, le public idéal) aux élèves et à leurs parents, de sorte que chacun pourra commencer à piocher des idées et amorcer telle ou telle lecture ou visionnage de film, série, conférence. Puis, tout au long de l’année, j’enverrai régulièrement ce o’logbook© actualisé en indiquant, par exemple, la conférence que l’élève doit écouter pour la semaine suivante (sorte de homework électronique que l’élève peut faire depuis son téléphone ou sa tablette, dans le bus, dans son lit). Par ailleurs, une fois par mois je demanderai à cinq élèves de m’envoyer leur propre o’logbook© et, en classe, j’interrogerai l’un des cinq élèves sur tel ou tel film, série, film ou jeu vidéo qu’il a indiqué. Ainsi l’élève ne pourra pas prendre le risque de baratiner. Il sera noté, mais sur un support anglophone qui lui a plu, qu’il aura choisi. C’est pour moi l’aspect le plus attrayant, car enfin on peut espérer sortir de l’apprentissage à « taille unique ». Par ailleurs, si le support choisi par l’élève est pertinent pour tout le monde, cela alimentera le o’logbook© collectif de la classe, voire celui des autres élèves. Et enfin, ce qui n’est pas négligeable, cela va me permettre de rester à la page !
J’ajouterai que o’logbook© dépasse très largement le seul cadre de la classe puisque l’idée est qu’il soit utilisé durant de nombreuses années (en 4ème et 3ème pour amorcer, mais surtout au-delà, en vue des 1er CV). Là encore, c’est une nouveauté car cela donne une pérennité et un sens à ce qui s’apprend à l’école et s’inscrit dans une histoire personnelle et personnalisée. »
Rendez-vous pour un nouveau témoignage de Nathalie Pédron dans un an après un usage « in situ » auprès de ses élèves.
Notre sélection série TV de la semaineElle est repartie pour une nouvelle saison, la 6ème, sortie il y a quelques jours. C’est notre série de la semaine :
La suite des aventures de Piper Chapman, incarcérée à Litchfield, une prison de sécurité minimale pour quinze mois car elle a transporté une valise d’argent issue du trafic de drogue, dix ans plus tôt, pour son amante d’alors, Alex Vause. Elle tente de se faire à la vie en prison, entre le clanisme, les réseaux et les fortes personnalités des autres détenues.
Le film qu’on vous a choisi cette semaine vient de sortir le 1er août au cinéma. Il s’agit de :
Faut-il obliger un adolescent à recevoir la transfusion qui pourrait le sauver ? Fiona Maye, Juge de la Haute Cour, décide de lui rendre visite, avant de trancher. Leur rencontre bouleversera le cours des choses. Avec la superbe et bouleversante Emma Thomson.
Cette semaine, nous avons sélectionné pour vous un nouveau roman :
The wife between us = Une femme entre nous
Si en jetant un oeil à ce livre vous vous attendez à une histoire classique de triangle amoureux, alors ne l’ouvrez pas !…
A moins de travailler dans un milieu anglophone ou de partager sa vie avec une compagne ou un compagnon originaire d’un pays de langue anglaise, les occasions de pratiquer l’anglais sont rares. Or, on le sait, si la langue française était prédominante jusqu’au début du XXe siècle, l’anglais, à la faveur de la mondialisation, est devenue en quelques décennies la langue de communication universelle. Et il s’avère que de plus en plus souvent, ne pas parler anglais est un handicap. Conscients de nos lacunes, nous sommes nombreux à déplorer l’isolement (pour ne pas dire la honte) dans lequel nous plonge parfois notre méconnaissance de l’anglais. Nombreux aussi sont ceux qui jalousent les Scandinaves, pour qui la langue anglaise est quasiment une seconde langue maternelle. D’accord, c’est un fait, nous ne sommes pas connus, nous, Français, pour maîtriser les langues étrangères, et en particulier l’anglais. Mais les choses changent, et ne pas être bons dans ce domaine ne veut pas dire que nous soyons moins doués que les autres. Alors, plutôt que d’accepter cette lacune comme un fait irrémédiable, si nous utilisions tous les moyens à notre disposition pour inverser la tendance.
C’est exactement dans cet esprit que j’ai créé le o’logbook©.
En effet, partant du constat que les contenus en langue anglaise sont de plus en plus accessibles, je me suis dit qu’il valait mieux en faire un atout d’apprentissage plutôt que de continuer à se lamenter sur notre sort. Prenons par exemple l’engouement que connaissent actuellement les séries. Qui parmi vous n’a pas un faible pour Game of Thrones, Orange Is the New Black, The handmaid’s Tale ou autre The Walking Dead ? Et je pourrais également citer Sherlock, Breaking Bad, Peaky Blinders, The Good Wife, Stranger Things, Downton Abbey, Mad Men ou encore Suits… Nous vivons un véritable âge d’or de la série de qualité. Et même si d’excellentes créations sont d’origine française, espagnole ou danoise, reconnaissons-le, la grande majorité est anglaise et américaine. Alors pourquoi ne pas les regarder en VO sous-titrée anglais ? Ne serait-ce que dix minutes par épisode. Vous verrez, vous vous réapproprierez du vocabulaire oublié et en découvrirez d’autre, vous renouerez avec le present perfect, vous apprendrez de nouvelles expressions… Et vous aurez la satisfaction de pouvoir référencer la série en question dans votre o’logbook©. Car c’est là tout le principe du o’logbook©, le journal de bord de vos loisirs en anglais : encourager et valoriser une immersion dans la langue anglaise, sans voyager, ni retourner à l’école. Et ce qui est valable pour les séries l’est aussi pour les films, les livres, les conférences, les podcasts, les médias, les jeux vidéo… Chaque fois que vous pratiquez un loisir en anglais plutôt qu’en français, notez-le dans votre o’logbook©, et faites-le savoir. En effet, votre o’logbook© est partageable et peut figurer dans la section langues étrangères de votre CV.
Pour info, la saison 5 d’Orange is the New Black vient de sortir, alors si vous retrouviez Piper, Alex, Taystee, Red, Morello et les autres dans leur langue d’origine… Et rendez-vous sur votre o’logbook© pour vos commentaires.